Nous avons une opportunité incroyable de découvrir le monde à l’intérieur du corps dans lequel nous vivons. Nous pouvons le comprendre. Nous pouvons l’écouter. Nous pouvons lui donner ce dont il a besoin. Nous pouvons travailler avec lui plutôt que contre lui. Nous pouvons protéger et chérir notre héritage, en obtenant le plus possible de ce que nous avons, au lieu de le dilapider et de nous réveiller quand nous nous retrouvons face à une faiblesse ou à une mauvaise santé et qu’il est alors trop tard… Cette conscience et ce respect vont nous aider à apprécier le corps qui nous a été donné mais vont aussi nous aider à respecter et à être responsable envers la nature de ce monde dans lequel nous vivons, qui nous nourrit et nous protège.
L’iridologie nous donne l’opportunité de comprendre le fonctionnement de notre organisme, ses forces et ses faiblesses, notre héritage et la manière dont notre corps a été affecté par notre façon de vivre dans ce monde. L’iridologie nous guide pour que nous retirions le plus de ce que nous possédons.
L’iridologie est un langage universel, valable pour tous les âges et pour toutes les cultures. L’iris est aussi personnelle que ne le sont nos empruntes digitales. C’est une représentation unique de qui nous sommes et c’est évidemment différent pour chaque personne comme pour chaque brin d’herbe, grain de sable ou flocon de neige.
L’iridologie transforme la façon dont nous nous sentons par rapport à nos corps. Quand nous voyons que la façon dont nous vivons est reflété dans nos yeux nous ne pouvons plus vivre de façon inconsciente et ignorante.
Nous devons savoir comment nous maintenir en bonne santé et devenir conscient que cette responsabilité pèse sur NOS épaules. Nous pouvons vivre dans nos corps en conscience et en prendre soin avec respect. C’est le temple de notre vie, le seul corps que nous avons.
L’iridologie peut nous aider à trouver les clés pour nous permettre d’atteindre un niveau supérieur de santé et de bien-être.
traduction de F. Sharan in « A Complete Guide to Iridology 1986 »
Catherine Campioni, Naturopathe - le blog 